Evolution d’un nouveau soumis sous cage de chasteté

Ma maîtresse adorée me demande d'écrire mes sensations, combien je l'apprécie et mon histoire, ce que j'essaye de faire ici. Jean-Jacques, 43 ans célibataire, avant ma rencontre avec ma déesse je dois avouer que ma libido était assez faible, je me masturbais peu et je faisais l'amour encore plus rarement. Cela fait 6 mois que je sers Maîtresse Annie et j'ai tout subi, chevalet, pinces aux tétons, fouet, ceinture, piqures, brulures, humiliations diverses, cage pour mon pénis, et j'ai toujours adoré ça en fait.

J'ai retrouvé une vigueur sexuelle que je n'avais pas avant, mes érections sont solides aujourd'hui quand elle l'exige et durent longtemps si elle le souhaite.

Je sais au fond de moi que ce qu'elle préfère c'est la domination complète de mes éjaculations, avoir tout pouvoir sur mon sexe, elle est prête à me faire subir tout pour cela. J'ai de très fortes tendances masochistes et je suis dans un état second quand elle ordonne et "prends soin de moi".

Je la vénère et rien n'est trop dans les punitions quelle me donne si cela lui procure du plaisir, je suis prêt à toutes les compromissions, il est hors de question que je fasse défaut sur un de ces vices.

Le plus compliqué pour moi c'est la cage de chasteté car je dois l'endurer à diverses reprises très longtemps surtout qu'elle me touche avant pour me faire bander et m'amener dans un état d'excitation terrible. Elle a le don de s'exhiber naturellement devant moi qui suis en cage et en plus pénis bloqué dans l'étui spécial bloquant qui me rend totalement fou ! Comment peut-elle être aussi belle, séduisante, sexy et vêtue de façon aussi provocante !

Ma dernière séance ou elle a eu un amant black qui me voyait aussi dans ma cage et ou elle s'est faite littéralement défoncée en hurlant des insanités ! Des horreurs même ! Elle m'apostrophait "Porc tu vas lui nettoyer la bite ! " "Tu vas me racler ma chatte pleine de foutre avec ta langue ! Si c'est bien fait je jouerais avec toi ensuite !".

Elle a joui au bout de 25 minutes de pilonnage intensif toujours en criant ce genre de choses et moi je répondais "oui maîtresse", elle a ouvert la cage, et j'ai du obéir et prendre son pénis dans ma bouche pour lécher le reste et bien le nettoyer pendant qu'elle vérifiait ! Elle a congédié le black.

J'ai du lécher le sperme qui coulait de son vagin pendant qu'elle se trémoussait et j'ai adoré le faire. Elle a exigé ! "Nettoyage complet salaud !" et je me suis exécuté. Ensuite par bonheur Maîtresse a dit "tu as bien fais le travail, on va jouer maintenant". En disant cela elle effleurait la brulure qu'elle m'avait infligée sous un téton et qui m'avait laissé une marque rouge douloureuse. Elle avait conservé ses cuissardes sexy et ses bas fumés vintage ainsi que son joli porte jarretelles noir, un bustier très serré qu'elle apprécie bien.

Maîtresse ce nouveau jeu me rend fou de désir et en écrivant ma bite caracole dans sa cage ! Le jeu consiste à gérer mes érections et à commander avec un décompte mon éjaculation exactement au moment ou elle le désire. Entre temps elle me fouette le cul, la poitrine, me donne de la ceinture fine et même la fine cravache que j'aime. Après chaque série de coups elle me tripote (je n'ai pas le droit de me toucher) et fais glisser la peau autour de mon gland d'avant en arrière très délicatement, évidemment la tension devient terrible et elle crie "si tu éjacules je te démolis la bite à coups de fouet, c'est quand je veux !". Le fait de demander de ne pas jouir augmente l'excitation dans une mesure invraisemblable c'est vrai maîtresse et à ce moment je dois faire preuve d'un effort considérable. C'est vrai maîtresse que j'ai supplié maîtresse, j'ai demandé la fin, non pas du fait de souffrir pour vous mais du calvaire lié à l'interdiction d'éjaculer, 8 jours en cage sans sortir de sperme avec de l'excitation constante.

Vous m'avez bien entendu mais pas écouté tout de suite, ma bite devenait plus molle par moment et j'avais un liquide transparent qui dégoulinait du méat, quand vous avez vu ça vous êtes devenue un peu folle mais ce n'était pas du sperme maîtresse je le jure. Je comprends que vous m'ayez fait saigner les fesses avec la cravache sur le chevalet, puisque selon vous je désobéissais.

J'essayais de ne pas trop gémir car je sais que vous n'aimez pas cela maîtresse adorée, ma déesse. Comment avez vous pu avoir cette imagination aussi perverse de me faire débander sous le fouet ensuite à chaque fois que mon sexe durcissait et de me dire "tu vas dégouliner ta jute en laissant ta bite molle espèce de dégueulasse". je pensais que c'était impossible je dois l'avouer maîtresse mais je n'ai rien dis. C'est certain que mon pénis redevenait très dur sans ma volonté à chaque fois.

Le plus fou c'est que les coups que je recevais pour me faire débander avaient souvent tendance à me stimuler davantage, alors que j'essayais de penser à autre chose pour avoir la queue molle et vous plaire. J'ai pris un ultime coup de cravache sous les couilles qui a réussi à atteindre son but, je ne sais pas comment maîtresse vous avez su mettre un doigt dans mon anus et faire quelque chose qui a fait couler une quantité de sperme incroyable, mon orgasme était faible mais extrêmement long je n'en ai jamais ressenti un de pareil.

Maîtresse je vous aime, je vous adore je suis prêt à tout pour vous rendre heureuse, profitez de mon corps et de moi autant que vous le voulez, prenez votre plaisir, éliminez le mien autant que vous le désirez, je suis entièrement à votre service, humiliez-moi, je suis totalement soumis et obéissant. Je veux encore caresser vos jambes et vos pieds magnifiques assis ou à genoux sur le sol et dans la dévotion aussi longtemps que vous voudrez.

Votre esclave dévoué et fidèle.

Jean-Jacques.